Van der Meulen family explained
van der Meulen family |
Other Names: | (van der or vander) Molen, Moelen |
Coat Of Arms: | File:Van der Meulen arms variant 1.svg |
Estate: | Fief of the Roetaert |
Properties and estates
They owned the fiefdom of the Roetaert[1] as well as numerous fishponds and lakes, especially in the Sonian Forest, such as the famous Enfants Noyés ponds, which Elisabeth van der Meulen (1720–1769), wife of Jean-Baptiste van Dievoet (1704-1776), sold to the state in 1744.[2]
See also
Notes and references
- Henry de Pinchart, « Court historique du hameau de Stalle-sous-Uccle », « Possesseurs », in : le Folklore brabançon, March 1979, no 221, p. 90.
- Sander Pierron, Histoire illustrée de la forêt de Soignes, vol. I, p. 62 : « Élisabeth vander Meulen, fille de Lambert et épouse de Jean-Baptiste van Dievoet, proposa quand elle en eut hérité de vendre à l'État pour 1000 florins les étangs suivants qui lui appartenaient : 1) l'Enneplas, 2) le Vuylbeke, 3) et 4) les deux étangs d'Erkendael, 5) le petit Kinderen Verdroncken, 6) le grand Kinderen Verdroncken, c’est à dire l'étang inférieur et l'étang supérieur des Enfants noyés (Les six étangs constituant deux bonniers) »
- B.R., ms G 123 et G 1625. "parti : au I d'or à l'aigle bicéphale de gueules ; au II, écartelé, au 1 et 4 de gueules au sautoir d'hermine accompagné en pointe d'une molette d'or (van de Voorde), au 2 et 3 de sable au lion d'argent armé, lampassé et couronné à l'antique d'or (Brabant-Gaesbeek)"
- MS. G 1625. This variant is also published by Koller in his Armorial bruxellois. "parti: au 1 d'or à l'aigle bicéphale de sable; au II écartelé: au 1 et 4 de gueules au sautoir d'hermine, au 2 et 3 de sable au lion d'or"
Further reading
- Daniel Leyniers, Genealogie der familie van der Meulen en Leyniers, manuscript book, 18th century, Archives of the City of Brussels, n° 2296.
- Sander Pierron, Histoire illustrée de la forêt de Soignes, vol. I, p. 62.
- Chloé Deligne, Bruxelles et sa rivière. Genèse d'un territoire urbain (12e - 18e siècle), Turnhout : Brepols, 2003, pp. 158, 159, 173, 176, 159, 160, 182, 193, 205