Carthaginian tombstones explained

Carthaginian tombstones are Punic language-inscribed tombstones excavated from the city of Carthage over the last 200 years. The first such discoveries were published by Jean Emile Humbert in 1817, Hendrik Arent Hamaker in 1828 and Christian Tuxen Falbe in 1833.[1]

The steles were first published together in the Corpus Inscriptionum Semiticarum; the first focused collection was published by Jean Ferron in 1976. Ferron identified four types of funerary steles:[2]

The oldest funerary stelae belong to Type III and date back to the 5th century BCE, becoming widespread at the end of the 4th century BCE. Bas-reliefs and statues appeared later.[2]

Bibliography

Primary sources

. none. Nathan Davis (traveller). Carthage and Her Remains : Being an Account of the Excavations and Researches on the Site of the Phoenician Metropolis in Africa, and Other Adjacent Places. 1861. Bentley.

. Heinrich von Maltzan. Reise in den Regentschaften Tunis und Tripolis . Dyk . Reise in den Regentschaften Tunis und Tripolis . v. 1 . 1870 . de . Anhang: Ueber die neuentdeckten phönicischen Inschriften von Karthago.

. Julius Euting. Punische Steine . Académie impériale des sciences de St.-Pétersbourg . Mémoires de l'Académie Impériale des Sciences de St.-Pétersbourg . 1871 . de.

. none. Alfred Louis Delattre . Les tombeaux puniques de Carthage. 1890. Imprimerie Mougin-Rusand.

Secondary sources

Notes and References

  1. Book: Tang, Birgit. Delos, Carthage, Ampurias: The Housing of Three Mediterranean Trading Centres. 2005. L'ERMA di BRETSCHNEIDER. 978-88-8265-305-7. 69–.
  2. Debergh Jacques. Ferron (Jean), Mort-Dieu de Carthage, ou les stèles funéraires de Carthage. In: Revue belge de philologie et d'histoire, tome 56, fasc. 3, 1978. Langues et littératures modernes — Moderne taal- en letterkunde. pp. 712-715: "Typologiquement, Jean Ferron distingue les statues (type Ι Α, Β ou C selon qu'il s'agit d'une «quasi ronde-bosse», d'un «demi-relief» ou d'un «genre d'hermès»), les bas-reliefs (type II 1, où la figure humaine ressort en arc de cercle, et II 2, où elle saillit en un relief aplati), les monuments à niche (type III 1, à niche rectangulaire ou trapézoïdale, et III 2, à niche avec sommet triangulaire) et les pierres gravées (type IV, rarissime en fait). La chronologie de ces monuments reste, vu les conditions des découvertes, fort approximative. A Carthage, les premières stèles funéraires, qui relèvent du type III, remontent au Ve S., à la fin du siècle sans doute (cf. p. 259), à la première moitié au plus tôt (cf. p. 248) ; leur usage se généralise à la fin du IVe S. Bas-reliefs et statues apparaissent par la suite, aux me-ne s. surtout. Après la destruction de Carthage, et une interruption d'une vingtaine d'années, la production reprend jusqu'à la fin du 1er S. av. n.è."